Remplace le Type 44.
Lancement au salon de Paris (FRA) en octobre 1930. Le Type 49 se reconnait par un radiateur agrandi.

Moteur :
8 cylindres en ligne en 2 blocs de 4, carter moteur boulonné au châssis participant à la rigidité de l’ensemble et permettant de gagner du poids sur la construction des brancards de caisse.
Bloc en acier.
Vilebrequin sur 9 paliers.
Refroidissement liquide par pompe et thermostat.
Lubrification sous pression
Dernière Bugatti avec un seul arbre à cames en tête entraîné par renvois coniques, boîte à cames en aluminium, 3 soupapes en tête par cylindre, 2 d’admission et 1 d’échappement.
Alimentation par 1 carburateur Schebler, pompe à essence électrique.
Double allumage par bobine et distributeur, 2 bougies par cylindre, ordre d’allumage 1-6-2-5-8-3-7-4.
3275 cm3 (72×100),
110 chevaux.


Transmission :
Mouvement transmis aux roues arrières.
Carter de boîte directement boulonné sur le châssis pour les mêmes raisons que pour le moteur. Ce type de montage un alignement parfait du moteur, boîte, châssis, essieu avant et transmission arrière.
Boîte de vitesses à 4 rapports, sélecteur central à rotule.
Rapport de pont : 4,16 :1.
Embrayage multidisques à bain d’huile.
Châssis :
Cadre à longerons et entretoises.
2 versions : court sur empattement 3,12m, uniquement sur commande spéciale, la firme utilisant le stock de T.44 invendu et long de 3,22m pour des voies de 1,25m à l’avant et à l’arrière.
Suspension avant par essieu rigide formé d’un tube creux chromé, ressorts longitudinaux semi-elliptiques à lames, amortisseurs.
Suspension arrière par essieu rigide, ressorts longitudinaux 1/4 elliptiques à lames, amortisseurs.

Freins :
Tambours à l’avant et à l’arrière, D.330 mm.
Commande mécanique par câbles auto-serreurs.
Pneus 28×5.25.
Direction :
Vis et roue.
Evolution :
? : Nouvelle jantes en aluminium coulé.

Embrayage à sec.